Rien ne sert de courir quand on n'est pas pressé!

Publié le par AT

Perso, j’ai horreur de courir, je ne sais pas ce que je fous là, sur la ligne de départ.

Courir après le temps, ça ne sert à rien, c’est toujours lui qui gagne, surtout vers la fin.

Courir après les jolies filles, j’ai passé l’âge et en plus je ne cours pas assez vite.

Courir après les filles moches, là, j’y arrive, mais c’est moi qui ne cours pas assez vite pour leur échapper.

Courir après ses rêves, ça peut tourner au cauchemar si tu n’en fais pas une réalité.

D’un autre côté, c’est vrai que courir plus vite que les autres, c’est la seule façon d’être suivi, c’est une règle de base du management. Je me retourne : ah zut, personne de mon équipe. Y sont tous devant ou absents.

Mais bon, j’avais fait un pari, un soir de cuite au Jägermeister sans doute, je ne me rappelle plus de rien. Faire une course pour la première fois de ma vie. La dernière, ce devait être au lycée, dans les années 70 ou 80 du siècle dernier. Je courais sous la pluie en Kway, encore lui. C’était nul. Impossible en effet avec un Kway de tourner en même temps la tête et la capuche. Sans compter l’effet sauna déjà évoqué.

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